Cette semaine, on s'intéresse à LA chanson du film de Lover culte qu'est "N'oublie jamais". Cette chanson fait office de fil rouge tout au long du film et représente la relation entre Noah et Allie. Découvrez une dizaine de versions différentes interprétées par les plus grandes stars américaines des 60 dernières années.
- Les versions entendues dans "N'oublie jamais" :
La première fois que l'on entend la chanson, c'est durant la scène de danse dans la rue lors de la première soirée de Noah et Allie. La danse avec une musique imaginée, forcément looove. Voici la scène en question :
La version de l'extrait est chantée par la très grande Billie Holiday dans les années 50. Voici la chanson, complète cette fois-ci :
On l'entend à nouveau dans "N'oublie jamais" vers la fin du film mais chantée cette fois-ci par Jimmy Durante. Il s'agit d'une version de 1960.
- Les autres versions :
Composée en 1938 pour une comédie musicale de Broadway par Sammy Frain, "I'll be seeing you" est vite devenue un hymne lors de la 2nde Guerre Mondiale. On y trouvait alors un préambule de quelques phrases, comme dans cette version de Vera Lynn, datant de la guerre.
Avec cette chanson, Bing Crosby a atteint la première place des charts en 1944. Malheureusement, je n'ai pas pu retrouver cette chanson sur Youtube alors on enchaine avec Rosemary Clooney, la tante de George, qui était avant une chanteuse ultra-connue. A l'écoute de la vidéo, on comprend pourquoi.
Icône du music-hall américain des années 50 à 70, Liberace était également un virtuose du piano.
Le roi Frankie n'a évidemment pas esquivé cette chanson et c'est avec talent qu'il s'acquitte de la tâche.
Autre membre emblématique du "Rat Pack", Dean Martin a également repris cette chanson. C'est vraiment un incontournable, il faut croire.
En 1973, Cass Elliott, autrefois connue sous le nom de "Mama Cass", reprend à son tour la chanson.
La version suivante nous vient du chanteur de rock peroxydé et anglais Rod Stewart. Alors que sa carrière de chanteur s'est éloignée du rock, il fait maintenant les joies de son public en tant que crooner.
Et on termine avec le nouveau Franck Sinatra, le très talentueux Michael Bublé qui nous offre ici une version très classique de ce tube intemporel.
Partage cet article :
Écrire commentaire