J'adore les communiqués de presse qui nous promettent tout et n'importe quoi. Ici, c'est "une histoire d’amour intemporelle dans un univers poétique et baroque" que l'on nous promet et je vous préviens, cela a intérêt à être le cas ! On ne balance pas des promesses en l'air aux assoiffés de romantisme que nous sommes.
"L'homme qui rit", adaptation du livre du même nom de Victor Hugo raconte l'histoire d'Ursus, un forain haut en couleurs, qui recueille dans sa roulotte deux orphelins perdus dans la tempête : Gwynplaine, un jeune garçon marqué au visage par une cicatrice qui lui donne en permanence une sorte de rire, et Déa, une fillette aveugle. Quelques années plus tard, ils sillonnent ensemble les routes et donnent un spectacle dont Gwynplaine, devenu adulte, est la vedette. Mais ce succès ouvre au jeune homme les portes de la célébrité et de la richesse et l'éloigne des deux seuls êtres qui l’aient toujours aimé pour ce qu’il est : Déa et Ursus.
Dit comme ça, ça peut carrément le faire, en espérant que la reconstitution soit à la hauteur. Maintenant, j'ai plutôt confiance puisque c'est Jean-Pierre Améris aux commandes et qu'il avait réussi à recréer son petit monde dans "Les émotifs anonymes", sorti lui aussi au beau milieu de l'hiver avec le succès qu'on lui a connu. Patience donc, le film sort le 26 décembre et en attendant, voici la bande-annonce officielle.
Écrire commentaire